Publié le 13 déc 2015Lecture 2 min
L’échographie 3D en gynécologie, une technique accessible à tous et pour un diagnostic précis
J.-M. LEVAILLANT, Créteil
Après la Journée scientifique du Collège de gynécologie de Normandie au Havre, où j’ai eu le plaisir d’être invité par Béatrice Guigues, voici la synthèse de la thématique qui m’avait été confiée sur « L’échographie 3D accessible à tous pour un diagnostic précis et quotidien ».
Je pense que le premier apport de cette échographie 3D est la coupe coronale qui paraît maintenant indispensable.
Cette journée du Collège de gynécologie de Normandie a été riche en enseignement et je tenais à remercier, par ce petit atlas, les organisateurs, en particulier Béatrice Guigues.
L’échographie 2D nous a apporté la coupe sagittale, indispensable, et la coupe axiale, complémentaire. Mais l’échographie 3D nous a apporté l’élément essentiel pour le diagnostic dans bien des pathologies : la coupe frontale. Alors, on peut s’interroger sur le peu d’appétence des imageurs pour l’échographie 3D, malgré son efficacité indiscutable, et bien souvent sa supériorité diagnostique sur l’IRM. La technique est pourtant simple, rapide, quasi-robotisée sur les machines échographiques de moyenne gamme. Il est temps de systématiser l’examen échographique gynécologique en intégrant les trois coupes : sagittale, axiale et frontale. Ce petit atlas n’est pas exhaustif, mais veut être une contribution à ce que sera bientôt l’examen échographique gynécologique systématisé, au service du diagnostic et de la sanction thérapeutique. L’apport de la sonographie paraît aussi indispensable à la précision du diagnostic : mais là aussi, combien de sonographies sont réalisées lorsque l’échographie 2D n’est pas résolutive ?
Attention, pour des raisons réglementaires ce site est réservé aux professionnels de santé.
pour voir la suite, inscrivez-vous gratuitement.
Si vous êtes déjà inscrit,
connectez vous :
Si vous n'êtes pas encore inscrit au site,
inscrivez-vous gratuitement :
