Publié le 08 juil 2009Lecture 2 min
Insuffisance ovarienne prématurée : quel traitement substitutif ?
L.E.
Deux types de traitement hormonal substitutif ont été comparés dans un essai croisé chez 34 femmes ayant une insuffisance ovarienne prématurée en termes d’effets vasculaires : un traitement dit physiologique (estradiol transdermique et progestérone naturelle vaginale) et un traitement standard (éthinylestradiol ou noréthistérone orale), pendant 12 mois. Seulement 18 femmes (18 à 39 ans) ont terminé le protocole de 28 mois. Le traitement « physiologique » a permis de diminuer significativement les pressions artérielles systolique et diastolique des 24 heures (de 7,3 et 7,4 mmHg respectivement) comparativement au traitement standard, à 12 mois de suivi. Les concentrations d'angiotensine II et de créatinine étaient également significativement plus basses, sans modification des concentrations d’aldostérone.
Deux types de traitement hormonal substitutif ont été comparés dans un essai croisé chez 34 femmes ayant une insuffisance ovarienne prématurée en termes d’effets vasculaires : un traitement dit physiologique (estradiol transdermique et progestérone naturelle vaginale) et un traitement standard (éthinylestradiol ou noréthistérone orale), pendant 12 mois. Seulement 18 femmes (18 à 39 ans) ont terminé le protocole de 28 mois. Le traitement « physiologique » a permis de diminuer significativement les pressions artérielles systolique et diastolique des 24 heures (de 7,3 et 7,4 mmHg respectivement) comparativement au traitement standard, à 12 mois de suivi. Les concentrations d'angiotensine II et de créatinine étaient également significativement plus basses, sans modification des concentrations d’aldostérone.
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